Les procureurs français ont officiellement mis en examen 25 personnes, dont certaines âgées de seulement 16 ans, en lien avec une série de tentatives d'enlèvement visant des figures de l'industrie crypto et leurs familles.
Selon les médias locaux, les accusations font suite à une série de complots d'enlèvement très médiatisés qui ont secoué la communauté croissante des actifs numériques en France.
Les suspects, âgés de 16 à 23 ans, seraient liés à des efforts coordonnés pour kidnapper des individus ayant des liens avec la richesse en cryptomonnaie, utilisant souvent des véhicules volés et une fausse marque de coursier pour mener à bien les attaques.
Au cœur des dernières inculpations se trouve la tentative d'enlèvement largement rapportée du 13 mai à Paris, où des assaillants masqués ont attaqué la fille et le petit-fils du PDG de Paymium, Pierre Noizat.
L'attaque a eu lieu dans le 11ème arrondissement en pleine journée et a été filmée, la vidéo ayant ensuite circulé en ligne. Les trois victimes ont subi des blessures légères et ont été traitées à l'hôpital.
Les autorités déclarent que cet incident faisait partie d'une conspiration plus large impliquant d'autres tentatives infructueuses, y compris un complot similaire la veille et une opération distincte près de Nantes peu après.
Parmi les 25 accusés, 18 sont désormais en détention préventive, quatre sont sous contrôle judiciaire et trois ont demandé des audiences différées.
Les suspects viendraient apparemment de divers horizons, beaucoup étant nés dans la région parisienne et d'autres venant de lieux tels que le Sénégal, l'Angola, la Russie et Châtellerault.
Les avocats de la défense ont caractérisé certains des accusés comme des jeunes vulnérables attirés dans des activités criminelles par des promesses d'argent rapide, inconscients de la gravité des crimes.
L'enquête a pris de l'ampleur suite aux arrestations massives du 27 mai, lorsque la police française a mené des perquisitions coordonnées à travers l'Île-de-France et la Loire-Atlantique.
Les opérations ont été menées par la Brigade de Répression du Banditisme, l'unité anti-gang spécialisée de France, et se sont concentrées sur le démantèlement d'un réseau prétendument derrière plusieurs schémas d'enlèvements liés aux cryptomonnaies.
Les responsables français croient que ces incidents pourraient être liés à une organisation criminelle qui recrute des operatives via les réseaux sociaux pour réaliser des enlèvements à haut risque. Les enquêteurs affirment que les personnes arrêtées jusqu'à présent semblent être des soldats de base et des gestionnaires logistiques, avec les cerveaux toujours en liberté.
Comme précédemment rapporté par crypto.news, le ministre de l'Intérieur français Bruno Retailleau a rencontré des acteurs de l'industrie des actifs numériques à la mi-mai pour discuter des mesures de sécurité.
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La France porte des accusations contre 25 personnes dans une conspiration d'enlèvement liée aux cryptomonnaies.
Les procureurs français ont officiellement mis en examen 25 personnes, dont certaines âgées de seulement 16 ans, en lien avec une série de tentatives d'enlèvement visant des figures de l'industrie crypto et leurs familles.
Selon les médias locaux, les accusations font suite à une série de complots d'enlèvement très médiatisés qui ont secoué la communauté croissante des actifs numériques en France.
Les suspects, âgés de 16 à 23 ans, seraient liés à des efforts coordonnés pour kidnapper des individus ayant des liens avec la richesse en cryptomonnaie, utilisant souvent des véhicules volés et une fausse marque de coursier pour mener à bien les attaques.
Au cœur des dernières inculpations se trouve la tentative d'enlèvement largement rapportée du 13 mai à Paris, où des assaillants masqués ont attaqué la fille et le petit-fils du PDG de Paymium, Pierre Noizat.
L'attaque a eu lieu dans le 11ème arrondissement en pleine journée et a été filmée, la vidéo ayant ensuite circulé en ligne. Les trois victimes ont subi des blessures légères et ont été traitées à l'hôpital.
Les autorités déclarent que cet incident faisait partie d'une conspiration plus large impliquant d'autres tentatives infructueuses, y compris un complot similaire la veille et une opération distincte près de Nantes peu après.
Parmi les 25 accusés, 18 sont désormais en détention préventive, quatre sont sous contrôle judiciaire et trois ont demandé des audiences différées.
Les suspects viendraient apparemment de divers horizons, beaucoup étant nés dans la région parisienne et d'autres venant de lieux tels que le Sénégal, l'Angola, la Russie et Châtellerault.
Les avocats de la défense ont caractérisé certains des accusés comme des jeunes vulnérables attirés dans des activités criminelles par des promesses d'argent rapide, inconscients de la gravité des crimes.
L'enquête a pris de l'ampleur suite aux arrestations massives du 27 mai, lorsque la police française a mené des perquisitions coordonnées à travers l'Île-de-France et la Loire-Atlantique.
Les opérations ont été menées par la Brigade de Répression du Banditisme, l'unité anti-gang spécialisée de France, et se sont concentrées sur le démantèlement d'un réseau prétendument derrière plusieurs schémas d'enlèvements liés aux cryptomonnaies.
Les responsables français croient que ces incidents pourraient être liés à une organisation criminelle qui recrute des operatives via les réseaux sociaux pour réaliser des enlèvements à haut risque. Les enquêteurs affirment que les personnes arrêtées jusqu'à présent semblent être des soldats de base et des gestionnaires logistiques, avec les cerveaux toujours en liberté.
Comme précédemment rapporté par crypto.news, le ministre de l'Intérieur français Bruno Retailleau a rencontré des acteurs de l'industrie des actifs numériques à la mi-mai pour discuter des mesures de sécurité.