Les données de Jinshi du 17 juin ont montré que la baisse des marchés boursiers européens s'est accentuée, car les préoccupations concernant les prochaines élections françaises ont entraîné une volatilité des marchés à leur plus haut niveau depuis octobre de l'année dernière. L'indice européen Stoxx 600 a reculé de 0,2%, effaçant les gains de la matinée, et le CAC 40 français a également effacé une grande partie de ses gains de 1% à l'ouverture. Certaines institutions, dont Liberum, estiment que les inquiétudes et la vente excessive sont exagérées, tandis que Citigroup a abaissé sa note pour la région. Wolf von Rotberg, stratège en actions de la banque Safra Sarasin, a souligné que, outre les inquiétudes politiques, l'environnement favorable dont bénéficient les banques européennes est également sur le point de se terminer, car une politique monétaire accommodante pourrait éroder les revenus d'intérêts, de nombreuses banques étant également gravement affectées par la forte baisse des obligations gouvernementales françaises. "Nous pensons que les banques européennes sont peu susceptibles de surperformer le marché dans son ensemble. Cela va également affecter les performances relatives des marchés boursiers européens."
This page may contain third-party content, which is provided for information purposes only (not representations/warranties) and should not be considered as an endorsement of its views by Gate, nor as financial or professional advice. See Disclaimer for details.
L'agitation politique en France a entraîné une fluctuation du marché boursier, les marchés boursiers européens ont chuté.
Les données de Jinshi du 17 juin ont montré que la baisse des marchés boursiers européens s'est accentuée, car les préoccupations concernant les prochaines élections françaises ont entraîné une volatilité des marchés à leur plus haut niveau depuis octobre de l'année dernière. L'indice européen Stoxx 600 a reculé de 0,2%, effaçant les gains de la matinée, et le CAC 40 français a également effacé une grande partie de ses gains de 1% à l'ouverture. Certaines institutions, dont Liberum, estiment que les inquiétudes et la vente excessive sont exagérées, tandis que Citigroup a abaissé sa note pour la région. Wolf von Rotberg, stratège en actions de la banque Safra Sarasin, a souligné que, outre les inquiétudes politiques, l'environnement favorable dont bénéficient les banques européennes est également sur le point de se terminer, car une politique monétaire accommodante pourrait éroder les revenus d'intérêts, de nombreuses banques étant également gravement affectées par la forte baisse des obligations gouvernementales françaises. "Nous pensons que les banques européennes sont peu susceptibles de surperformer le marché dans son ensemble. Cela va également affecter les performances relatives des marchés boursiers européens."